La prise en charge varie en fonction de l’âge du demandeur. Chaque dossier étant examiné par une commission, il peut être utile de demander l’aide d’associations pour appuyer votre demande.
Une prise en charge par votre mutuelle peut être demandée. Renseignez-vous auprès de votre organisme.
Les Maisons Départementales pour Personnes Handicapėes (MDPH) (trouvez la votre ici)
La MDPH constitue le « guichet unique » d’accueil des personnes handicapées regroupant les services de l’ex COTOREP, de l’ex CDES et des Sites pour la Vie Autonome, sous la tutelle du Conseil Général.
Le demandeur doit retirer un dossier auprès de la MDPH, du Conseil Général ou de la Mairie. Une fois rempli (en partie par votre ophtalmologiste),il est remis à la MDPH qui en assure le suivi jusqu’à son financement.
Les aides techniques figurant sur la Liste des Produits et Prestations Remboursables (LPPR) font l’objet d’une prescription médicale. Le montant du remboursement par l’Assurance Maladie est déduit du montant attribué au titre de la Prestation de Compensation du Handicap (PCH).
Pour les aides techniques hors LPPR, le montant attribué au titre de la PCH est forfaitaire :
Le fonds de compensation du handicap, géré par la MDPH (issu du Département de l’Assurance Maladie), s’adresse aux personnes ne pouvant assumer le montant restant à leur charge.
C’est le Centre Local d’Information et de Coordination (CLIC) qui vous renseigne. Aucun remboursement n’est prévu.
Dans certains cas, le financement peut être accordé :
Pour les personnes dont la déficience visuelle s’est déclarée avant 60 ans,la Prestation de Compensation du Handicap (PCH) a été élargie jusqu’à l’âge de 75 ans.
Pour les personnes exercant une activité, elles peuvent solliciter la PCH sans limite d’âge et sans avoir à démontrer qu’elles remplissaient les critères avant 60 ans.
Sous condition de Ressources, un dossier peut toutefois être constitué auprès de votre Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM).
Ce dossier devra comprendre :
Une ordonnance et demande d’entente préalable de l’ophtalmologiste précisant l’origine de la malvoyance, l’acuité visuelle (avec et sans correction) et le grossissement nécessaire
Un devis descriptif par l’opticien,
Une lettre de motivation sur le bien-fondé de cette aide.
Dans tous les cas, il est conseillé de demander l’aide d’une assistante sociale de la CPAM.
C’est le Centre Local d’Information et de Coordination (CLIC) qui vous renseigne. Aucun remboursement n’est prévu.
Dans certains cas, le financement peut être accordé :
Pour les personnes dont la déficience visuelle s’est déclarée avant 60 ans,la Prestation de Compensation du Handicap (PCH) a été élargie jusqu’à l’âge de 75 ans.
Pour les personnes exercant une activité, elles peuvent solliciter la PCH sans limite d’âge et sans avoir à démontrer qu’elles remplissaient les critères avant 60 ans.
Sous condition de Ressources, un dossier peut toutefois être constitué auprès de votre Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM).
Ce dossier devra comprendre :
Une ordonnance et demande d’entente préalable de l’ophtalmologiste précisant l’origine de la malvoyance, l’acuité visuelle (avec et sans correction) et le grossissement nécessaire
Un devis descriptif par l’opticien,
Une lettre de motivation sur le bien-fondé de cette aide.
Dans tous les cas, il est conseillé de demander l’aide d’une assistante sociale de la CPAM.
C’est le Centre Local d’Information et de Coordination (CLIC) qui vous renseigne. Aucun remboursement n’est prévu.
Dans certains cas, le financement peut être accordé :
Pour les personnes dont la déficience visuelle s’est déclarée avant 60 ans,la Prestation de Compensation du Handicap (PCH) a été élargie jusqu’à l’âge de 75 ans.
Pour les personnes exercant une activité, elles peuvent solliciter la PCH sans limite d’âge et sans avoir à démontrer qu’elles remplissaient les critères avant 60 ans.
Sous condition de Ressources, un dossier peut toutefois être constitué auprès de votre Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM).
Ce dossier devra comprendre :
Une ordonnance et demande d’entente préalable de l’ophtalmologiste précisant l’origine de la malvoyance, l’acuité visuelle (avec et sans correction) et le grossissement nécessaire
Un devis descriptif par l’opticien,
Une lettre de motivation sur le bien-fondé de cette aide.
Dans tous les cas, il est conseillé de demander l’aide d’une assistante sociale de la CPAM.
Vous souhaitez vous équiper dans le cadre du travail ? Contactez l’AGEFIPH d’Ile de France:
92 Avenue Aristide Briand
92226 BAGNEUX Cedex
Tél : 0 811 37 38 39
Fax : 01 46 11 01 52